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Les sports extrêmes ont la côte depuis les années 2000, particulièrement chez les jeunes qui ont besoin de se dépasser, se prouver des choses, se montrer qu’ils existent. Des pratiques sportives, parfois sciemment peu encadrées, qui peuvent conduire à des accidents ou à une addiction aux sports extrêmes. Le pour et le contre de ces sports décoiffant.
En quelques décennies, la définition de sport extrême a bien évolué et tend à s’assouplir. La liste des sports extrêmes est longue, mais on peut par exemple citer :
Il y a aussi la pratique de sports dans des conditions extrêmes :
On se remémore la phrase de Pierre de Courbertin : « Le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre ».
Psychologiquement :
Physiquement :
Les accidents, parfois mortels, sont fréquents dans les sports extrêmes. De plus, cette recherche de la mise en danger peut devenir aliénante, telle une drogue. C’est pourquoi on entend souvent parler d’addiction aux sports extrêmes. C’est ainsi qu’on peut être accro à l’adrénaline. Une autre faille qui rappelle que le corps est ses limites.
En parallèle des risques physiques, parfois vitaux, il ne faut pas négliger l’engagement psychologique que cela demande, et du risque de courir après de telles performances, comme le rappelle Isabelle Queval, philosophe et chercheure, dans une vidéo S’accomplir ou se dépasser : « Notre société, qui repose depuis plusieurs décennies sur le culte de la performance sportive, de course en avant, dans la mesure où la perfectibilité recherchée n’a pas de fin, où l’on risque de perdre les fins qu’on cherche à atteindre. Le processus finit par importer seul : toujours s’arracher, se dépasser, au risque de perdre les finalités qu’on a poursuivi. »
Pour limiter les risques dans votre pratique de sport extrême, assurez-vous d’avoir :